Une prose ressuscite les soleils morts. Elle dévore un chef-d'œuvre qui la libère des tirages en vogue, défunts de l'art et de la poésie. Le métronome farfelu du récit renverse les barrières de son enclos.
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Et le vide rebondit sur le plein. Dans un récital de gestes, elle se redresse. Son esprit, responsable et juvénile, chasse les discordes au sein de l'ossature. Sous l'éclairage du plafond lézardé, elle déploie son être sans esclandre, ni jeux truqués. D'un bref zézaiement, une mouche la charrie. Et le rire accourt dans sa gorge.