Il neige de la mort sur les routes du monde
Il pleut sur l'eau des océans comme une pâte
Et le vent de la nuit sans le levain du deuil
Passe à travers avec indifférence
Et n'aérant nulle tristesse de son poids.
Les malheureux, déchirés du commencement
Qu'ils n'ont jamais connu, n'ont pas de fin non
plus!