Celle qui de nul corps —
Ses fortes mains tendues de doigts déserts
Ses grands genoux s'ouvrant
La statue de sa peau ombre une roue de pierre
Puis je l'ai vue renaître
Dans le pouvoir des pommes sur le ciel véridique
Sa tête décasquée
Exposant au soleil des objets vipérins
Je l'ai vue se défaire
Que de milliers de fois renouée dans ses foudres
Le visage éclaté
Sur nous agenouillés dans les bœufs et les sangs