Les larmes sur l'ardoise,
Les armes dans la chambre.
Quelque chose pensait...
Il fallait que les fantômes mangent !
La neige a répandu des fleurs
Que le ciel mouille en chaque oiseau
Chaque oiseau
Planant un nuage fait pour la lenteur
De tout mourir en dormant le vent le plus chaud.
Il fallait que les fantômes s'engrangent...
Pour épuiser les creux de l'âme blanche
Déshabillée de sa mémoire des chambres.