regard comme enfoncement d'astres dans le temps
par
l'eau regard sur la mort
après
le monde
signe devant ce qui continue de durcir
l'être de mort
dans la pensée
la croissance des os
qui
s'éloigne de ce sol
lumineux
sur lui
referme
ses ombres
solaire noire plantée de cerveaux
une langue
gonfle
rejeta par delà le vide
ses gorges envoûtées
qui
avec membranes et regards
commençaient l'orifice des mots
pas de nombre pas d'espace
rien
que la foudre dans des ciels
d'arrêt
(pendant l'écriture
se détruisent les autres ciels)
les glaces les années
jaunies
seules
les réponses ne
pourrissent pas
qui
pourrissent le mystère
de toute fin de tout
jugement
l'oreille se redre dans l'écho du
nom
cède encore à l'eau
le front bleuit
puis la tempe
le
flot la larme
accomplit la coction de pouls
qui
s'éloigne
de ce sol
dit
en retour
à
qui nomme et demande
«fut bâti dans l'invisible
par les signes »