Se lever tôt, se coucher tard,
restreindre l'espace de réparadon
retrouver
le souffle des mots perdus
hors de la cage d'air
comme un cheval qui se bat
contre les taons, le hasard,
contre les mouches
et le noir
avec tes contre-cages odorantes
avec les insectes doux
d'un visage de femme-enfant
qui se glissent, qui se jouent
entre les branchies
et la soif